Des éruptions solaires… sympathiques
Les régions actives du Soleil sont le siège de puissantes émissions de rayonnement, appelées flares, qui figurent parmi les phénomènes les plus énergétiques de notre système solaire. Une sous-catégorie se…
Les régions actives du Soleil sont le siège de puissantes émissions de rayonnement, appelées flares, qui figurent parmi les phénomènes les plus énergétiques de notre système solaire. Une sous-catégorie se…
Le système TRAPPIST-1, fascinant par ses sept planètes rocheuses de taille terrestre, dont trois situées dans la zone habitable, représente une opportunité unique pour étudier les atmosphères des exoplanètes. Le télescope spatial James Webb (JWST) joue un rôle clé en permettant de mesurer l’émission thermique de ces planètes tempérées.
Le programme DiSCo, grâce au télescope James Webb, identifie trois types de TNOs dont la composition chimique, liée à leur origine dans le disque protoplanétaire, éclaire la formation des planétésimaux…
Une superflare est une émission électromagnétique d’une puissance exceptionnelle émanant d’une étoile, libérant une énergie équivalente à un trillion de bombes à hydrogène, bien au-delà des éruptions solaires enregistrées à ce jour.
Alors que le JWST observait TRAPPIST-1, le système aux sept exoplanètes, une équipe internationale de chercheurs, incluant le Département d’Astrophysique du CEA Paris-Saclay, s’est aperçue que des passagers célestes faisaient régulièrement leur entrée dans le champ de vue. Ils ont alors mis au point une méthode pour les étudier et ont ainsi identifié 138 nouveaux astéroïdes de la ceinture principale.
Le modèle standard de la cosmologie, fondement de notre compréhension de l’Univers depuis le Big Bang, est-il en danger ? Les récentes observations du télescope spatial James Webb (JWST), menées par une équipe internationale incluant le Département d’Astrophysique du CEA-IRFU, révèlent des galaxies massives dans l’Univers jeune, suscitant un vif débat au sein de la communauté scientifique.
Une étude à laquelle l’IAS a participé vient de révéler la présence de nouvelles molécules à la surface de Charon, le plus gros satellite de Pluton, grâce aux observations du télescope spatial James Webb (JWST).
Une nouvelle étude internationale impliquant une équipe du Laboratoire Géosciences Paris-Saclay (GEOPS – Univ. Paris-Saclay / CNRS) vient de révéler pour la première fois la présence de glace d’eau sous forme de givre au sommet des volcans martiens près de l’équateur.